est Directeur de Recherche au CNRS. Responsable de différents projets et groupes de recherche nationaux et internationaux, son activité scientifique se centre dans l’étude des sociétés romaines de la péninsule Ibérique et des Gaules, à partir d’une méthode essentiellement épigraphique. Outre la publication des corpora épigraphiques comme celui de Bordeaux, Labitolosa, Teruel ou Bilbilis, ses travaux de recherche se sont surtout occupés de l’onomastique antique et des élites locales, en particulière des femmes (Perfectissima femina : Femmes de l’élite dans l’Hispanie romaine, 2017). Elle est l’auteur ou l’éditeur de nombreux ouvrages, parmi lesquels, on mettre en exergue Atlas antroponímico de la Lusitania romana, 2004 (avec José Luis Ramírez Sádaba), Elites hispaniques, 2001 (avec Ségolène Demougin), La transmission de l’idéologie impériale dans l’Occident romain, 2006 (avec Jean-Michel Roddaz). Actuellement, elle est la vice-présidente du comité d’organisation du prochain congrès international d’épigraphie grecque et latine (Bordeaux, 2022). Elle est directeur scientifique de la base de données épigraphique PETRAE, avec laquelle elle collabore avec la communauté internationale dans la fédération de base de données EAGLE. Elle est la responsable de la compilation et l’étude de l’épigraphie latine de l’Aquitaine antique et de sa publication dans la collection ILA : Inscriptions latines de l’Aquitaine. Elle s’occupe concrètement d’étudier les inscriptions des Bituriges Cubi. Elle dirige la réalisation de l’Atlas anthroponymique de l’Aquitaine antique, ainsi que du projet ADOPIA.
est Professeur de recherche distingué d’histoire romaine et d’études classiques à l’Université York (Toronto), membre de la Société royale du Canada, membre correspondant de l’Académie royale de l’Histoire de l’Espagne et membre correspondant de l’Institut Archéologique Allemand (DAI). Son activité scientifique se centre sur l’étude de l'histoire sociale, économique et culturelle de l’Hispanie romaine, en particulier de la Lusitanie, et sur l’épigraphie latine, surtout de la péninsule Ibérique, en particulier, d’Augusta Emerita (Mérida). Il est auteur des ouvrages Imagen y Memoria. Monumentos funerarios con retratos en la colonia Augusta Emerita (avec T. Nogales Basarrate et W. Trillmich, 2001) et Granite Funerary Stelae from Augusta Emerita (2006). Il a édité des nombreux ouvrages, dont (en collaboration avec Christer Bruun) The Oxford Handbook of Roman Epigraphy (2015). Il travaille actuellement dans la préparation des fascicules sur les inscriptions d’Augusta Emerita (centre urbain et territoire rural) pour la deuxième édition du C.I.L. II. Un volume (préparé en collaboration avec Luis Hidalgo Martín, Juana Márquez Pérez et José Luis Ramírez Sádaba) sur toutes les nouvelles inscriptions funéraires découvertes depuis 1990 dans les fouilles urbaines de Mérida – Nueva epigrafía funeraria de Augusta Emerita (NEFAE): Tituli sepulcrales urbanos (ss. I-VII) y su contexto arqueológico – est actuellement sous presse. En outre, il a publié une série d’articles sur la famille romaine et les spectacles publics dans le monde romain (surtout ceux qui impliquent les gladiateurs). Il est actuellement co-directeur du projet ADOPIA.
est professeur honoraire d’Histoire romaine de l’université Bordeaux-Montaigne.Il a d’abord dédié ses recherches principales à la circulation monétaire dans la péninsule Ibérique, publiées dans divers ouvrages ou dans les Actes de diverses réunions scientifiques en Espagne et au Portugal. Depuis, outre des travaux conduits sur l’archéologie et l’histoire de l’Aquitaine, il se consacre à l’épigraphie et aux études d’onomastique (près de 40 publications, dont celles des ILA Pétrucores [2001], de l’Atlas antroponímico de la Lusitania romana [Grupo Mérida, 2003], des ILA Landes et Pyrénées-Atlantiques [2015], et, en préparation, des ILA Lémovices).
est Professeur de Linguistique Indo-européenne à l’Université País Vasco-Euskal Herriko Unibertsitatea (Vitoria-Gasteiz). Son activité de recherche s’est centrée dans l’étude des langues préromaines de l’Occident européen, en particulier sur celles parlées dans la péninsule Ibérique. Il a travaillé sur divers aspects des langues, comme les textes et les inscriptions ou le matériel onomastique secondaire, faisant toujours un lien entre les données linguistiques et les données historiques. Il est l’auteur de Onomástica indígena de Aquitania (1984), qui reste la monographie essentielle pour l’aquitain, et de plusieurs travaux sur le basque ancien. Il a aussi consacré plusieurs travaux au lusitanien, en solitaire (“En torno al lusitano”) y en collaboration (par ex. avec J. Mª Vallejo: Onomástica indígena, eje 1 del Atlas et Iberografías 6), ainsi que diverses études épigraphiques pour les inscriptions latines d’Aquitaine. Editeur de la revue Veleia pendant 27 ans, il est actuellement le responsable de la base de données Hesparia, spécialisée dans les Langues et l’Epigraphie paléohispaniques.
est Professeur d’Histoire Ancienne et d’Archéologie à l’Université de Lisbonne et chercheur du UNIARQ. Son activité scientifique concerne des sujets historico-épigraphiques. Dans sa thèse doctorale (inédite), il a analysé la documentation littéraire et épigraphique sur les toponymes préromains de l’Occident hispanique, publiant ensuite des nombreux articles sur la question. Il a été le co-responsable des fouilles du sanctuaire d’Endovelicus (2002-2009) et a participé à la publication de ses résultats dans une monographie où il a principalement étudié les matériaux épigraphiques. Outre l’épigraphie romaine, tout particulièrement celle d’Olisipo et celle des marques sur amphores (il est co-auteur d’un livre sur les timbres amphoriques découverts en Lusitanie) il a étudié aussi l’épigraphie préromaine, en particulier l’écriture du sud-ouest.
est maître de conférences en Histoire Ancienne à l’Université Complutense de Madrid. Actuellement, elle est sous-directrice de l’Archivo Epigráfico de Hispania, membre de conseil de rédaction de la revue Hispania Epigraphica et secrétaire de la revue Gerión. Membre de différents projets et groupes de recherche nationaux et internationaux, sa recherche se centre fondamentalement sur l’Histoire de l’Hispanie romaine, avec un intérêt tout particulier pour sa documentation épigraphique; Les résultat de cette ligne de travail préférentielle sont, outre des articles dans de revues scientifiques et des chapitres de libres, ses monographies Epigrafía Romana de Ávila (colection PETRAE Hispaniarum 3, Bordeaux-Madrid, 2005) et Manuscritos de contenido epigráfico de la Biblioteca Nacional de Madrid (siglos XVI – XX). La transmisión de las inscripciones de la Hispania romana y visigoda (Madrid, 2009).
est Maître de Conférence en Histoire Ancienne à l’Université de Salamanque. Sa recherche s’est centrée sur l’histoire de la péninsule Ibérique sous le Haut Empire, tout particulièrement le rôle de l’armée romaine, l’épigraphie et les aspects sociaux. Les résultats de ses travaux ont été publiés dans plusieurs livres et articles publiés dans des prestigieuses revues, ainsi que dans des congrès nationaux et internationaux. Parmi eux, il faut mettre en exergue son libre Legio VII Gemina. Estudio de una legión romana (Salamanca, 2006), sa participation dans l’Atlas Antroponímico de la Lusitania romana (Burdeos-Mérida, 2003) et son rôle d’éditeur du volume intitulé Villes et territoires dans la Bassin du Douro à l’époque romaine (Burdeos, 2007) et de Militares y civiles en la antigua Roma. Dos mundos diferentes, dos mundos unidos (Salamanca, 2010). Il a participé dans des nombreux programmes de recherche nationaux et internationaux. Il fait partie du programme international Petrae Hispaniarum, dont il a la responsabilité, avec Manuel Salinas, du corpus de la province de Salamanque.
est maître de conférences en Linguistique indo-européenne à l’Université du Pays Basque - Euskal Herriko Unibertsitatea. Son domaine de recherche porte sur les langues anciennes de l’Occident de la péninsule Ibérique, avec une attention spéciale à l’onomastique et aux problèmes de la transmission secondaire de l’information linguistique. Le résultat de ses recherches a été publié dans des revues scientifiques et des colloques internationaux et nationaux. Parmi ses publications, il faut mettre en exergue Antroponimia indígena de la Lusitania romana (Vitoria, 2005) et Onomástica paleohispánica. Antroponimia y teonimia: Testimonios epigráficos latinos, celtibéricos y lusitanos, y referencias literarias (Bilbao, 2016).
Il a aussi participé à des projects de recherche nationaux et internationaux, comme par exemple celui de l' Atlas Antroponímico de la Lusitania romana, publié en 2003, ou de la base de données Hesperia, dont l’objectif est de publier sur le net tous les temoignages des langues péninsulaires anciennes. Actuellement, il fait partie du reseau ACCION COST AELAW “Ancient European Languages And Writings”, dont l’objectif est de coordoner un groupe de chercheurs internationaux specialistes dans l’étude de langues et d’écritures anciennes d’Europe.
est maître de conférences en Archéologie à l’Université de Séville. Sa recherche a toujours été associée au domaine de l’archéologie classique en général et hispano-romaine en particulier. Ses sujets d’intérêts sont, d’une part, comme membre d’une équipe universitaire de longue tradition, le peuplement rural et la relation ville-campagne dans le Bas-Guadalquivir à partir des données issues des prospections terrestres, d’autre part, à titre personnel, l’histoire sociale et religieuse. Dans ces deux thèmes de recherche, ce sont l’iconographie et l’épigraphie les deux principales sources utilisées, comme on peut le constater dans sa publication Hércules en Hispania: una aproximación (Barcelone, 1996), issue de sa thèse doctorale, et dans ses études sur des divinités comme Diane, Vénus ou sur le rôle des images sacrées dans les cités, la terminologie des dédicaces etc. Actuellement, elle travaille sur les femmes et leur rôle dans la sphère religieuse romaine. Elle a été membre de l’équipe de rédaction de l’ Atlas Antroponímico de la Lusitania Romana (Mérida-Bordeaux, 2003).
Il est professeur auxiliaire de la faculté de lettres de l'Université de Coimbra. Ses recherches se sont partagés entre l’archéologie protohistorique et l’épigraphie latine, en particulier du nord de l’est et du nord de la Lusitanie. Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages, parmi lesquels en mettra en exergue Epigrafia romana da região de Bragança (2002) y A cultura epigráfica no conventus Bracaraugustanus: percursos pela sociedade brácara da época romana (2017). Il fait partie du comité de rédaction de Hispania Epigraphica et de Conimbriga. Il appartient à de nombreux groupes et associations scientifiques, notamment à l'Association Internationale d'Épigraphie Grecque et Latine (AIEGL), dont il fait partie de son comité.
est professeur assistant à l’Université de Séville. Sa recherche est principalement consacrée à l’épigraphie, l’onomastique latine, la prosopographie, la femme romaine et l’histoire sociale de Rome. Il est l’auteur de la monographie Matronae equestres. La parenté féminine des chevaliers romains originaires des provinces occidentales sous le Haut-Empire romain (Ier-IIIe siècles), Bruxelles-Rome, Brepols, 2018. Il a aussi édité le volume de scripta varia de Marie-Thérèse Raepsaet-Charlier Clarissima femina. Études d’histoire sociale des femmes de l’élite à Rome. Scripta varia, Bruxelles-Rome, 2016. Il fait partie de l’équipe d’édition du CIL II2/4. Il est membre du groupe ORDO.
https://us.academia.edu/AnthonyAlvarezMelero
Professeur d’Histoire Ancienne à l’Université de Seville, est membre titulaire de la Real Academia Sevillana de Buenas Letras, membre correspondant à Séville de la Real Academia de la Historia et membre correspondant de l'Institut Archéologique Allemand. Il a été membre du comité de 'Association Internationale d´Épigraphie Grecque et Latine (A.I.E.G.L.) de 2002 à 2012 et conseiller de la Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften pour le Project CIL jusqu’en 2018.
Il est directeur du Programme de recherche andalou “La Bética Romana: su Patrimonio Histórico” (PAIDI-HUM323) ; il est cofondateur et coordinateur du Groupe de ORDO (“Oligarquies romaines en Occident”).
Il a beaucoup publié dans le domaine prosopographique: on lui doit de nombreuses catalogages des membres de uterque ordo de origo hispanique. Il a édité des inscriptions, nombreuses, et certaines exceptionnelles, comme le mosaique de Trahius, la nouvelle plaque de la Lex coloniae Genetivae Iuliae (cap. XIII-XX), et, en collaboration avec W. Eck et F. Fernández Gómez, le senatus consultum de Gnaeus Pison pater. Il est l’auteur d’un livre fondamental sur Los senadores hispanorromanos y la romanización de Hispania (Siglos I III). I: Prosopografía, Écija (Sevilla) (2 vols., 1990). Plus récemment, il a publié les ouvrages Hispalis, de César a Augusto. La Colonia Romula y los orígenes institucionales de la Sevilla romana entre la República y el Imperio (2017) y Augustus, pater Hispalensium. Los orígenes de la Sevilla romana entre la República y el Imperio (2016).
https://investigacion.us.es/sisius/sis_showpub.php?idpers=1802
https://us.academia.edu/AntonioCaballosRufino
est archéologue municipal d’Ecija (Séville), professeur-tuteur de l’UNED de Séville et membre de la Real Academia de Ciencias, Bellas Artes y Buenas Letras “Luis Vélez de Guevara”. Ses domaines de recherche sont l’archéologie romaine et tardive, l’épigraphie latine, la gestion du patrimoine historique, artistique et archéologique, ainsi que la gestion des systèmes d’information géographique dans la documentation et l’analyse des données archéologiques, tant sur les villes que sur le territoire. En ce qui concerne la recherche épigraphie, il a édité plus de cent inscriptions, découvertes pour la plupart dans les interventions archéologiques de la ville d’Ecija qu’il a dirigées. Ces documents sont de nature très diverses, issus des espaces privés –defixiones, graffiti, hermae, mosaique, stèles funéraires, matériaux de construction etc -–, mais aussi disposés dans la sphère publique – inscriptions édilitaires, piédestaux honorifiques, litterae aureae, un calendrier, une nuncupatio uotorum, etc.–.
Il est l’auteur de Colonia Augusta Firma Astigi: El urbanismo de la Écija romana y tardoantigua, 2015 (en collaboration avec P. Sáez Fernández, E. García Vargas, S. Ordóñez Agulla), de Carta Arqueológica Municipal de Écija. 1. La ciudad, 2004, Civitas Solis. Diez años de estudios sobre la ciudad antigua de Écija, 2011, et Ager Astigitanus. Diez años de estudios sobre el territorio histórico de Écija, 2011 (ces deux derniers ouvrages en collaboration avec S. Ordóñez Agulla).
https://us.academia.edu/SergioGarcíaDilsdelaVega
est la directrice du Centro CIL II de la Universidad de Alcalá. Sa thèse Historia de la investigación epigráfica en Hispania en los siglos XVI y XVII (Institución F. el Católico, Zaragoza, 1997) a ouvert une ligne de recherche très peu explorée et exploitée jusqu'alors, qui constitue aujourd’hui l’un des axes le plus innovant de la recherche épigraphique actuelle, avec celle de la pratique épigraphique dans la péninsule Ibérique, un autre des axes majeurs de sa recherche. Sa recherche personnelle en épigraphie est associée à son travail sur la nouvelle édition des inscriptions d'Hispanie (CIL II2) dans le Corpus Inscriptionum Latinarum (CIL). Elle a la responsabilité de la zone nord de Conventus Hispalensis et des inscriptions de la ville romaine de Valeria (Cuenca). Elle est actuellement la PI du projet de R&D: Nouvelle édition de CIL II: 1. Inscriptions de l'extrême ouest du Conventus Gaditanus. 2. Inscriptions des municipes anciennes du territoire portugais à l'est de la Guadiana. Elle est la coordinatrice de la base documentaire épigraphique d’Espagne et du Portugal pour la nouvelle édition de CIL II.
https://dialnet.unirioja.es/servlet/autor?codigo=29151
est maître de conférences en Histoire Ancienne à l’Université Complutense de Madrid. Actuellement, elle est sous-directrice de l’Archivo Epigráfico de Hispania, membre de conseil de rédaction de la revue Hispania Epigraphica et secrétaire de la revue Gerión. Membre de différents projets et groupes de recherche nationaux et internationaux, sa recherche se centre fondamentalement sur l’Histoire de l’Hispanie romaine, avec un intérêt tout particulier pour sa documentation épigraphique; Les résultat de cette ligne de travail préférentielle sont, outre des articles dans de revues scientifiques et des chapitres de libres, ses monographies Epigrafía Romana de Ávila (colection PETRAE Hispaniarum 3, Bordeaux-Madrid, 2005) et Manuscritos de contenido epigráfico de la Biblioteca Nacional de Madrid (siglos XVI – XX). La transmisión de las inscripciones de la Hispania romana y visigoda (Madrid, 2009).
est professeur d'histoire ancienne à l'Université de Cordoue. Ses recherches concernent l'Hispanie romaine, en particulier l’histoire sociale, traitant souvent des élites municipales et d'’histoire politique, avec un regard particulier pour l’administration et la vie publique municipale. Pour ce faire, il part essentiellement des données épigraphiques et juridiques. Il est l'auteur de Evergetismo en la Hispania romana (Córdoba, 1993), El mecenazgo cívico en la Bética (Córdoba, 1994), La munificencia cívica en el mundo romano (Madrid, 1999) y El patronazgo cívico en la Hispania romana (Sevilla, 2018). Il a également été coordinateur de plusieurs monographies collectives, parmi lesquelles il faut mettre en exergue Senados municipales y decuriones en el Occidente Romano (Sevilla/Córdoba, 2013). Ses axes de recherche principaux sont l'évergetisme, les honneurs civiques, le mécénat municipal, les élites locales en Hispanie et dans l'Ouest romain et l'administration locale et la vie municipale dans le monde romain. Ces lignes de recherche sont étroitement liées à sa participation au Groupe de recherche ORDO (Oligarques romains de l'Ouest).
https://uco-es.academia.edu/EnriqueMelchorGil
Salvador Ordóñez Agulla est professeur d'histoire ancienne à l'Université de Séville. Ses axes de recherche comprennent des études sur la municipalisation de la province de Baetica d'un point de vue historique et archéologique - avec une attention particulière pour les villes d'Astigi et Hispalis -, l'édition d'épigraphes romaines, l'historiographie de l'histoire ancienne ou des aspects de la portée territoriale des communautés urbaines de cette province. Il est responsable du Groupe de Recherche du Programme de Recherche andalou (HUM-0441) Champ et Ville. Structures sociales, économiques et idéologiques en Andalousie et dans le monde méditerranéen dans l'Antiquité. Il est membre du comité de rédaction de la revue Habis, dont il a été secrétaire et directeur entre 1990 et 2014. Il a publié une série de livres tels que Colonia Augusta Firma Astigi (1988) ; Primeros pasos de la Sevilla romana (Siglos I A.C.-I D.C.) (1998) ; Carta Arqueológica Municipal de Écija. La ciudad (coauteur avec P. Sáez Fernández, E. García Vargas, S. García-Dils de la Vega) (2004) et deux volumes coédités avec S. García-Dils de la Vega : Civitas Solis. Diez años de estudios sobre la ciudad antigua de Écija (2011) y Ager Astigitanus. Diez años de estudios sobre el territorio histórico de Écija (2011). Ses éditions de textes astigitan inédits sont publiées dans des revues telles que ZPE, Habis, Pallas et Ficheiro Epigráfico.
https://us.academia.edu/SalvadorOrdóñez
est Professeur d’Histoire Ancienne (à la retraite) de l’Université de Grenade. Il a dirigé de fouilles archéologiques, parmi lesquelles celles du «Cerro de la Mora», Moraleda de Zafayona (Grénade) et celles du «Cerro del Cabezo», Capilla (Badajoz). Il est l’auteur de de plus de cent publications scientifiques sur des thèmes divers autour de l’Histoire Ancienne de la péninsule Ibérique, parmi lesquelles il faut mettre en exergue : Mirobriga. Excavaciones en el «Cerro del Cabezo», Capilla (Badajoz)” (Mérida 1993), Viriato. La lucha por la libertad (Madrid 2000; éd. portugaise, 2003; éd. française, 2009), Viriato. El héroe hispano que luchó por la libertad de su pueblo (Madrid 2004; éd. portugaise, 2006). Il a consacré une partie de son activité scientifique au monde sportif de l’Antiquité, surtout aux gladiateurs: Deporte y Olimpismo (Grenade 2007), Deporte y Olimpismo en el Mundo antiguo y Moderno (Grenade 2008), «Munera gladiatoria en Hispania», Los gladiadores. El fascinante espectáculo de los munera gladiatoria en el mundo romano (2018). Il est spécialiste en épigraphie latine, surtout celle de Grénade, sur laquelle il a publié des nombreux travaux: Inscripciones latinas de Granada y su provincia (Grenade 1987); Corpus Inscriptionum Latinarum II2/5: Conventus Astigitanus (Berlin 1998); Corpus de Inscripciones latinas de Andalucía IV: Granada (Séville 2002); Sociedad y epigrafía en Granada en época romana (Grenade 2004).
est maître de conférences en Archéologie à l’Université de Séville. Sa recherche a toujours été associée au domaine de l’archéologie classique en général et hispano-romaine en particulier. Ses sujets d’intérêts sont, d’une part, comme membre d’une équipe universitaire de longue tradition, le peuplement rural et la relation ville-campagne dans le Bas-Guadalquivir à partir des données issues des prospections terrestres, d’autre part, à titre personnel, l’histoire sociale et religieuse. Dans ces deux thèmes de recherche, ce sont l’iconographie et l’épigraphie les deux principales sources utilisées, comme on peut le constater dans sa publication Hércules en Hispania: una aproximación (Barcelone, 1996), issue de sa thèse doctorale, et dans ses études sur des divinités comme Diane, Vénus ou sur le rôle des images sacrées dans les cités, la terminologie des dédicaces etc. Actuellement, elle travaille sur les femmes et leur rôle dans la sphère religieuse romaine. Elle a été membre de l’équipe de rédaction de l’ Atlas Antroponímico de la Lusitania Romana (Mérida-Bordeaux, 2003).
est chercheur postdoctoral Juan de la Cierva à l'Université de Séville. Ses recherches ont porté sur l'analyse des cités hispaniques à la période Antonine à partir des registres archéologiques et épigraphiques. Il a également développé d'autres domaines de recherche, tels que: les associations funéraires dans l'ancien saltus Tugiensis (Jaén), les espaces non bâtis à l'intérieur de villes hispano-romaines et le patrimoine impérial dans les provinces hispaniques. Il a été boursier doctorant FPU et postdoctoral à l'Université de Córdoba et chercheur postdoctoral du projet ERC-« Patrimonium, Géographie et économie des biens impériaux dans le monde romain » de l'Institut Ausonius de Bordeaux. Il a effectué des séjours de recherche dans les universités de Florence, Coimbra, Oxford et à l'Institut archéologique allemand de Rome.
https://us.academia.edu/DiegoRomeroVera
est un chercheur pré-doctoral cofinancé par la Junta de Castilla y León et le Fonds social européen à l'Université de Salamanque. Ses recherches portent sur l'analyse des bâtiments publics de l'Empire romain occidental à travers les preuves archéologiques et les sources épigraphiques. Il a été boursier de la Fondation José Luis de Oriol - Catalina de Urquijo pour la promotion de la recherche (2016-2018). Il a effectué des séjours de recherche à l'Université de York (Toronto, Canada) et à l'Institut archéologique allemand de Madrid.
https://usal.academia.edu/SantiagoSánchezdelaParraPérez
est un chercheur pré-doctoral FPU à l'Université de Séville où il prépare une thèse sur la magistrature supérieure et les magistrats des communautés civiques du Latium depuis la fin de la guerre sociale jusqu'au milieu du IIIe siècle après J.-C. Ses principaux axes de recherche sont l'étude des processus de municipalisation et de colonisation, de l'administration locale et de la vie municipale, ainsi que des élites locales dans la région de l'Hispanie romaine et de l'Italie, en utilisant la documentation épigraphique et juridique comme sources d'information de base. Il est membre du groupe de recherche ORDO (« Oligarquías romanas occidentales ») et participe à des projets internationaux tels que « Epigraphica Romana » coordonné par l'unité Anthropologie et Histoire des Mondes Anciens (ANHIMA) du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS).
Ángela ALONSO SÁNCHEZ
Universidad de Extremadura
Jean-Pierre BOST
Institut Ausonius, CNRS-Université de Bordeaux-Montaigne, Labex LaScArBx
Enrique CERRILLO Y MARTÍN DE CÁCERES
Universidad de Extremadura
Julián DE FRANCISCO MARTÍN
Universidad de Oviedo
José D’ENCARNAÇÃO
Universidade de Coimbra
Jonathan EDMONDSON
York University, Toronto
José María FERNÁNDEZ CORRALES
Universidad de Extremadura
Marta GONZÁLEZ HERRERO
Universidad de Oviedo
Joaquín GORROCHATEGUI
Universidad de País Vasco
Marta JIMÉNEZ LOSA
Universidad de Cantabria
José Luis MELENA
Universidad de País Vasco
Milagros NAVARRO CABALLERO
Institut Ausonius, CNRS-Université de Bordeaux-Montaigne, Labex LaScArBx
Mercedes ORIA SEGURA
Universidad de Sevilla
Juan José PALAO VICENTRE
Universidad de Salamanca
José Luis RAMÍREZ SÁDABA
Universidad de Cantabria
Manuel SALINAS DE FRÍAS
Universidad de Salamanca
Alain TRANOY
Université de Poitiers
José María VALLEJO RUIZ
Universidad de País Vasco
†João Luís Inês VAZ
Universidade Católica de Viseu